Italie

Italie : il faut que la gauche reparte de quelque chose, mais de quoi?

Italie : il faut que la gauche reparte de quelque chose, mais de quoi?

Une bataille juste peut et doit être menée même si l’on est conscient qu’elle sera très probablement perdue dans l’immédiat. Mais il faudrait avoir une idée de la prochaine étape.« Notre objectif était d’atteindre le quorum pour changer des lois absurdes : nous ne l’avons pas atteint ». Contrairement aux différents dirigeants du centre gauche, le secrétaire de la CGIL, Maurizio Landini, a clairement admis la défaite des référendums lancés par son organisation. Une défaite d’ailleurs sans appel, compte tenu de l’écart de vingt points par rapport au quorum, qui aurait nécessité au moins dix millions de voix supplémentaires.